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Oui... Oui et non, comme d'hab! ;o)
Quand on arrive à la fin d'un tel projet (qui m'a
tout de même pris pas mal de temps !), c'est peut-être
le moment d'essayer de tirer quelques conclusions avant de foncer tête baissée
dans la conception d'une nouvelle machine à musique.
Juste pour le
fun, les 2 cousins... Quand je vous disais qu'il y avait un air de famille!
Les points positifs
 | L'instrument fonctionne bien, et même
finalement plutôt bien ;o). Il répond parfaitement à ce que je m'étais
fixé comme objectifs, et passe aussi
bien des
rouleaux que des cartons. Youpi alors ! | | Les principes mis en oeuvre ont l'air de tenir la
route.
Au
bout de quelques semaines de fonctionnement assez intensif, aucune reprise de réglages n'a
été nécessaire. |
Ce qui est moins bien
| Le poids : 7 kg sur l'épaule, ça devient
rapidement lourd ! | | La relative complexité de l'ensemble. | | Et dans une moindre mesure, le temps qu'il m'a
fallut pour y arriver, et les différents ratage. Mais ce dernier point, j'ai un
peu tendance à considérer que c'est du positif. ;o) |
Quelques enseignements
| Contrairement à une impression fausse que
j'avais, les anches ne sont pas plus faciles à
apprivoiser en dépression qu'en pression ! | | Une mécanique à engrenages c'est difficile à
réaliser, car les cotes de positionnement doivent être respectées au poil
près. Et dans le bois, c'est jamais gagné. | | Les boursettes à mini-soufflets ont de très
bonnes performances. Elles sont un peu plus compliquées à réaliser (quoique...) que
des boursettes circulaires, mais surtout dans ce cas, elles s'avèrent très peu encombrantes. | | Inconvénient d'un système à dépression :
ça aspire tout ! Et si les cartons ne sont pas nickel, on retrouve assez
rapidement des choses indésirables, genre restes de confettis, contre les capillaires de répétition... | | Et le plus important à mon sens : il est bien plus difficile de construire un instrument dont le son est
harmonieux, avec des anches qu'avec des flûtes. Il y a toute une alchimie
que se crée entre l'anche, son châssis, et le sommier avant que les
vibrations de l'ensemble ne soient transmises à l'air. Et peu de choses
semblent vraiment prédictibles et reproductibles sans une certaine
expérience. |
Pistes d'amélioration
| On doit pouvoir faire plus simple du côté du
chemin de carton (pas de mal !). Mais j'en ai déjà parlé. | | Il y a beaucoup trop de chêne, et trop épais.
Pas mal de poids à gagner de ce côté là. | | Il manque un volet d'expression... Mais combien
de personnes s'en servent-elles vraiment ? | | Et puis encore une fois, la soufflerie est bien
trop grosse. On doit pouvoir diminuer les courses des battants et de la
réserve, ainsi que leurs dimensions. Et gagner autant sur le volume final de
l'instrument.... |
Woualou!
Quelques années plus tard : Mise en place d'un contrôle électronique
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